Un héritage familial de césariennes
Cyrielle, la mère de Ouma, a un héritage familial de césariennes, car elle et sa mère sont toutes deux nées par césarienne. Cependant, elle voulait éviter d’avoir une césarienne pour son propre accouchement et a commencé à se renseigner sur les accouchements physiologiques à partir du 4ème mois de grossesse.
Le projet d’un accouchement physiologique respecté
Cyrielle a commencé à se renseigner sur les accouchements physiologiques à partir du 4ème mois de grossesse, car elle voulait éviter d’avoir une césarienne comme sa mère et elle-même. Elle a suivi les cours de préparation à l’accouchement avec sa sage-femme, qui lui a expliqué les différentes positions pour accoucher et comment gérer la douleur. Cyrielle a également été entourée d’une amie doula, qui l’a aidée à se préparer mentalement et émotionnellement pour l’accouchement.
Le jour de l’accouchement, Cyrielle a pu mettre en pratique tout ce qu’elle avait appris. Elle a accouché naturellement sans péridurale, en utilisant des techniques de respiration et de relaxation. Elle a également pu bénéficier de l’accompagnement de sa doula, qui l’a aidée à rester calme et détendue pendant l’accouchement. Cyrielle a trouvé que l’accouchement était une expérience très intense et émotionnelle, mais aussi très gratifiante.
La phase de désespérance : pourquoi ne pas la négliger ?
Cyrielle a trouvé que l’accouchement était une expérience très intense et émotionnelle, et qu’il y avait des moments où elle se sentait désespérée. Cependant, elle encourage les autres femmes à ne pas négliger cette phase, car c’est une partie normale de l’accouchement.
La phase de désespérance survient généralement lors de la phase de transition, lorsque les contractions sont les plus fortes et les plus rapprochées. Cyrielle se souvient avoir pensé qu’elle ne pourrait jamais supporter la douleur et qu’elle voulait abandonner. Elle explique que chaque femme est différente et que chaque accouchement est unique. Il est important de ne pas se comparer aux autres et de se concentrer sur soi-même et sur son bébé. Cyrielle ajoute également qu’il est important d’avoir un bon soutien pendant l’accouchement, que ce soit un conjoint, un ami, une famille ou une doula.