D’n accouchement programmé et qui sera déclenché
Au début de sa grossesse, Manon ne s’était pas trop préoccupée de l’accouchement. Elle a commencé des cours de préparation à l’accouchement en fin de grossesse, mais a changé de sage-femme car elle ne se sentait pas à l’aise avec la première. Elle a finalement trouvé une sage-femme avec qui elle s’entendait bien et a suivi des cours de préparation classiques ainsi que des cours de préparation à la piscine.
Malgré sa surveillance accrue en fin de grossesse, Manon ne s’attendait pas à accoucher avant son déclenchement programmé. Cependant, le dimanche soir précédant son déclenchement, elle a commencé à ressentir des contractions et à perdre du liquide. Le lendemain matin, elle a appelé la maternité pour vérification et on lui a dit de venir se faire contrôler.
… à un accouchement rapide et spontané
Lorsqu’elle est arrivée à la maternité, Manon a été installée en chambre et a commencé à ressentir des contractions de plus en plus fortes. Elle a essayé de prendre une douche pour se détendre, mais les contractions étaient trop intenses. Elle n’a pas eu besoin de péridurale et n’a pas eu de déchirure. Son fils, Matteo, est né à 17h50, pesant 2,340 kg. Malgré la rapidité de l’accouchement, Manon en garde un excellent souvenir et recommande aux femmes enceintes de faire confiance à leur corps.
Lorsqu’elle est arrivée en salle d’accouchement, la sage-femme a constaté que Manon était dilatée à 10 cm et prête à accoucher. Manon a commencé à pousser à 17h40 et son fils est né 10 minutes plus tard. Elle n’a pas eu besoin de péridurale et n’a pas eu de déchirure. Elle a pu tenir son fils immédiatement après la naissance et a pu le nourrir au sein.
Les réalités du post-partum
Manon a allaité son fils et a eu une rééducation du périnée, mais n’a pas eu besoin d’une rééducation particulière en post-accouchement. Elle a souffert d’une candidose mammaire en début de l’allaitement, mais celle-ci a été soignée avec succès. Manon et son conjoint prévoient d’avoir un deuxième enfant et elle espère pouvoir accoucher de manière similaire à la première fois. Cependant, elle s’inquiète de la prise de poids pendant la grossesse, car sa première sage-femme lui avait mis beaucoup de pression à ce sujet.
Après la naissance de son fils, Manon a eu une période d’adaptation difficile. Elle habitait dans le sud de la France, loin de sa famille qui habitait en région parisienne. Son conjoint était militaire et devait partir en mission quatre mois après la naissance de leur fils. Manon a donc dû s’occuper seule de son bébé pendant cette période.
Elle a souffert d’un baby blues et a eu du mal à trouver sa place en tant que mère. Elle a également eu des difficultés à allaiter son fils en raison d’une candidose mammaire. Cependant, elle a réussi à surmonter ces difficultés grâce au soutien de sa famille et de ses amis.